Les régimes de change adoptés par la banque d’Algérie : pour ou contre ?

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Abdelkrim Boudjelal LEKKAM

Résumé

Comme tous les pays en développement ou émergents cherchant en permanence une stabilité macroéconomique nécessaire pour les échanges et l’investissement, le choix d’un régime de change par les autorités algérienne se repose à chaque problème ou crise mettant en péril la bonne marche du régime de change adopté. Il s’agit de la principale raison pour laquelle l’Algérie a due laisser son régime de change évolué en fonction de sa situation macroéconomique et en se basant sur plusieurs indicateurs mesurant la stabilité. En effet, depuis l’effondrement du système de BRETTON WOODS en 1973, l’Algérie a adopté deux types de régime de change allant de l’ancrage à un panier vers le flottement dirigé. L’objectif était d’adapter la stratégie monétaire du pays à l’évolution du contexte national, régional et international pour assurer une transition économiquement soutenable et non-génératrice de déséquilibres et d’attaques spéculatives. Mais, la réalité montre que ce pays a rencontré énormément de difficultés pour atteindre cet objectif et qu’il fallait mettre en place des réformes structurelles pertinentes, des programmes d’Ajustement Structurel (P.A.S.) sous l’égide du FMI pour augmenter les chances de réussite des régimes de change adoptés.

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