Une lecture critique du secteur informel dans les pays du tiers-monde

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CHAIB BOUNOUA

Résumé

PS: paragraphe tiré de l'introduction


A ce titre, les analyses dualistes (W. A. LEWIS[2], D. W. JORGENSON[3], et J. F. REI G. RANIS[4]), ont servi de base aux études du BIT, qui au lieu de voir dans l'analyse classique d'une
économie sousdéveloppée, l'opposition d'un secteur moderne/urbain/industriel/ et d'un secteur traditionnel/rural/agricole/, ont montré l'existence d'un secteur intermédiaire. Ils ont en effet fait la constatation suivante : alors que la population urbaine, notamment dans les grandes villes, a crû rapidement au cours de ces dernières années, le chômage apparent ou déguisé n'a pas augmenté autant que le laissait supposer cette croissance. Et fait plus important encore, une
bonne partie de cette augmentation de la maind'oeuvre urbaine est absorbée, non pas dans la grande industrie organisée ou le secteur des Services, mais dans des activités de très petites tailles réunies sous l'appellation du secteur informel.


 

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