Enjeux des conflits à propos des terres de parcours

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Sofiane BENADJILA Meriem GHAZI

Résumé

Ps. Tiré de l'introduction de l'article.


Au début de notre étude [1], la préenquête menée à Deldoul auprès des agropasteurs Ouled Toaba laisse apparaître que les habitants ne reconnaissent pas le droit de l'Etat sur les terres de parcours tel que
défini au cours de la révolution agraire [2]. Tous les enquêtés prétendent que ces terres appartiennent au ârch [3]. De même à ElGuédid, où la fraction des Ouled Beïda (tribu des Ouled Oum Hanni) revendique des terres au nom de la farqa [4].
Nous avons traduit cette appartenance des terres au ârch ou à la farqa comme étant synonyme d'une exploitation collective sans possibilité d'appropriation, de vente ou d'héritage un retour au mode de gestion
des terres établi selon l'ordre tribal ancien. Au terme du suivi sur les deux communes, la réalité s'avère bien
différente : les règles de gestion traditionnelle des parcours sont en pleine m

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