La résidence et l'organisation familiale en milieu steppique algérien Quelques observations

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Djamel Eddine HADJ ALI

Résumé

Ps. Tiré de l'introduction de l'article.


Les réflexions critiques qui seront développées dans cet article ont pour origine ma participation personnelle à l'enquête de terrain menée en 1990 à Deldoul (wilaya de Djelfa) dans le cadre du projet "systèmes pastoraux maghrebins". Cette enquête avait pour objectif l'établissement d'un diagnostic sur les conditions socioéconomiques de l'utilisation d'un espace pastoral".
Le projet avait pour objectif global d'appréhender les obstacles et les chances de réussite de la nouvelle gestion d'un espace steppique, telle que proposée par le Haut Commissariat au Développement de la
Steppe (HCDS)[1]. La nouvelle gestion consiste en un découpage de la steppe en Unités Pastorales (U.P.) sur la base de la configuration humaine en 'arch ou ferqate (fractions de 'arch). Le but de cette nouvelle
gestion étant de mettre fin à l'état de territoire "sans maître" dans lequel s'était trouvée la steppe suite aux différentes réformes foncières état qui aurait été à l'origine du gaspillage des ressources pastorales et
de responsabiliser des collectifs de pasteurs qui seraient par hypothèse les
ferqate de 'arch ou les 'arch.
L'enquête, qui faisait suite à une autre enquête faite sur El Guédid
(wilaya de Djelfa) devait, sur la base des indications fournies par le
HCDS, concerner une partie du territoire de la commune de Deldoul. Le
HCDS avait présenté le territoire et la population comme suit :
Le territoire qui fait partie de la commune de Deldoul, est le support à
l'activité agropastorale
déployée par une ferqa du 'arch des Ouled
To'aba.

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