PRATIQUES INSTITUTIONNELLES ET DEVELOPPEMENT SOCIAL : LE JEU DES ACTEURS

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Abderrahmane ABEDOU Amina KADRI MESSAID

Résumé

Dans cet article, qui traite de la question du développement social, on tentera de relater l’expérience de deux types d’institutions ayant des intérêts relativement opposés. Il s’agit d’un côté, de l’Etat, et de l’autre, des entreprises algériennes leaders dans le pays, en l’occurrence Sonelgaz et Sonatrach, qui ont investi dans le développement social et dans le développement durable[3]. Les chantiers initiés par ces acteurs peuvent être dans leur globalité inscrits sous le registre de
l’action sociale visant la réduction de la pauvreté à travers la création d’activités économiques à petite échelle et la création d’emplois dans des régions défavorisées. Il est bien entendu que, si jusqu’à une date récente, l’action publique et la création d’activités économiques ont été le fait de l’Etat, nous observons aujourd’hui que les grandes entreprises économiques, sous couvert du développement durable, s’intéressent de plus en plus aux questions de pauvreté et d’exclusion sociale. De ce fait, il y a lieu de s’interroger sur les facteurs à l’origine de cet engouement pour le social, notamment lorsqu’il s’agit des entreprises qui ont pour finalité la rentabilité.

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