Question foncière et logiques rurales d'affectation de la terre

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CHÉRIF BENGUERGOURA RACHID AISSAT

Résumé

PS: paragraphe tiré de l'introduction


Ce qui s'inscrit d'emblée, aujourd'hui dans la question de la terre est la transformation d'un "bien" [1], le sol, à travers notamment la variété de ses usages. Le processus à l'oeuvre est le plus souvent ramassé dans une formulation lapidaire : le passage du bien foncier de l'usage agricole à l'occupation urbaine. C'est là un préconstruit qui, par exemple, porte le risque d'assigner comme conditions déterminantes aux changements en cours des évolutions, des mécanismes ou même
encore des états qui, souvent n'en sont que la conséquence. C'est ainsi qu'on a considéré l'urbanisation comme une simple avancée de la ville. C'est aussi par la crise de logement qu'on a tenté d'expliquer l'extension urbaine. Il est plus heuristique d'y voir un produit particulier d'un processus lentement organisé où le changement de l'usage du sol présente des variations.

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